Voici l’histoire d’une femme qui ne s’absentait jamais de chez elle plus d’une heure. Quand il fut évident que les animaux de sa voisine mouraient de faim, elle en avertit le propriétaire, qui vint ouvrir la maison. Elle entra avec lui, et découvrit un journal intime, posé en évidence dans la cuisine. Elle se mit à le lire, et, happée par le récit, entra dans la vie concentrique, labyrinthique, tortueuse d’Anne. Dès lors, elle vit les rondes infernales d’escargots et de vers de terre ; elle connut le beau et ténébreux Vladimir ; elle jalousa la diabolique Helena ; elle se rendit aux confins du monde, où elle rencontra Sœur Makrine, et sut, enfin, la terrible vérité. L’aventure, comme la lecture, ne sont jamais sans danger.
« Anne Styron m'a encore surprise avec cette nouvelle
néo-gothique. » (Lize Fleuvis, Amour Critique.)
« À travers ce roman, Anne Styron montre toute la difficulté que l’on peut éprouver à ouvrir la porte de chez soi,
et partir à l’inconnu. » (Charles-Yves Traap,
The Reader.)
« Cette romance est une claque, une remise en question de ce que l'on croit savoir sur la psyché, ou que l'on croit pouvoir comprendre. » (Israël Justaquo, Leer.)